Pour résumer l’action entreprise.

L’inflation d’innovations technologiques, liée à la démocratisation d’internet et à l’essor des objets connectés, a dessiné les contours d’un nouveau type de relation entre les marques et leurs clients.Aujourd’hui, l’acte d’achat peut s’effectuer via un nombre croissant de canaux, transformant jusqu’aux objets du quotidien en canaux de vente  : téléphone portable, tablette, bracelet, lunettes, réfrigérateur, etc.Mais il serait faux de croire que cette notion de bonheur est neuve.Des créations d’emplois en hausse et un taux de chômage, redescendu à 6,1% en juin consolident le mouvement. Autre piste pour les enseignes : fournir des outils d’aide à l’achat -« du type bornes interactives -, et à la vente, comme des tablettes tactiles pour le personnel. Début juillet, l’aide des étudiants boursiers a été revalorisée et élargie aux étudiants autonomes en rupture familiale, soit 200 millions d’euros pour 80.000 bénéficiaires.L’initiative européenne pour le revenu de base n’a pas rassemblé assez de signataires pour être évaluée devant le Parlement Européen.Mais le gouvernement n’a pas su tirer les conséquences de ce choix.Peut-être les économistes tendent-ils à convenir que certaines hypothèses sont plus répandues dans le réel. Téméraire Jean-Thomas Trojani n’hésite pas davantage quand, alors qu’elle est intérimaire au ministère sa hiérarchie lui refuse de créer une page Facebook.À ce titre, avec l’ARAF, d’un véritable régulateur, doté d’une autonomie de décision, d’une autonomie financière et de moyens (une quarantaine de salariés) qui n’ont que peu d’équivalents en Europe.Ces six éléments clés sont incontournables pour les acteurs souhaitant s’engager dans cette démarche.Ces innovations sont « responsables », car elles sont des manifestations concrètes de l’exercice de la responsabilité des entreprises et collectivités au bénéfice de populations dont les besoins spécifiques sont habituellement moins servis ou non servis. L’an passé, l’hôtellerie, qui représente près des trois-quarts des nuitées du département, a vu sa fréquentation diminuer de 4 % par rapport à 2012, pour un taux d’occupation en recul de 2,3 points.